Média 6 (Montpellier)

Catégorie « actualité » si on scrolle direct tout en bas.

Ô, la belle carte de visite !

Là… ça devient du sérieux….
Cela fait de nombreuses années que je veux m’attaquer à cet énormissime morceau que constitue Média6.
La principale raison de cette procrastination maladive, c’est qu’il y a tellement d’histoires (hilarantes pour beaucoup d’entre elles), que je n’arrive pas à m’y coller.

Restera plus qu’à raconter les 1001 aventures vécues sur place, mais là de suite…j’ai pas le temps.

De toutes façon, ça peut attendre, vu que :




 

Ça, c’est plutôt marrant aussi…
C’était collé à l’entrée du bureau de Joël et moi… Autant dire que cela en a découragé plus d’un
😀 (d’autant que le comble du comble, c’est que nous nous étions portés volontaires pour être « représentants du personnel » , QUELLE BLAGUE (certains se souviendrons de quelques entrevues avec nous, Jo et moi d’un coté du bureau, dans le noir quasi complet, le « plaignant » de l’autre coté , lampe de bureau en plein dans les rétines dans le plus pure style « policiers avec dialogues de Audiard »… 
A notre décharge, une fois sortis, les plaignants avaient vidés toutes les larmes de leur corps… (comment peut-on être aussi cruels ?, ha ha ha)

Suite à venir… parce que pour que ça soit amusant à lire, c’est une sacré boulot… il faut le vivre pour tout comprendre, et je ne suis pas scénariste… (Jo, un coup de main ? 😉 )

En attendant, nous allons commencer par la fin.
Facile, c’est mon pote Jo qui a retrouvé ça ce petit « magasine » fait maison dans ses cartons, qui les a tout scanné et me l’a envoyé.

Alors bien sûr, beaucoup sont « private joke », seul ceux qui ont vécu l’aventure pourrons comprendre, mais c’est toujours ça.

Quelques petites choses à savoir :

  • Lorsque Média6 battait de l’aile, vraiment sur la fin, nous avons décidé de faire une bonne grosse fête, et de distribuer ce fanzine
  • Ces images sont un mélange : d’illustrations faites par les animateurs et autres rois du crayon de la société, de détournement (au Blanco) d’affichettes parsemant les couloirs, du contenu de ce que la direction appelait « la boîte à doléance » (ha ha ha, quel gag, tu glissais ton petit mot anonyme dedans, et tu pouvais toujours prier pour que cela serve à quoi que ce soit), de collages à l’arrache et autres conneries diverses sur lesquelles je ne m’étendrai pas.
  • Tout ceci a donc été ramassé en fin de vie de la boite, pour en faire ça.

Et en attendant, des scans du petit livret-fanzine (1 seul n° , et pour cause), distribué pour sonner la fin de l’aventure. Illustration par les animateurs et autres as du crayon de l’étage en dessous.
« Private joke », par exemple, il est impossible de comprendre la page 2 (3ème image donc) si on ne sais pas que le gus entouré de posters de méduse était le scénariste, et qu’il avait un petit tique d’écriture faisant que très souvent, les personnages étaient « médusés » par telle ou telle situation 😀

NB : un grand merci à Mâa BERRIET, qui était au développement informatique pendant cette période, et grâce à qui certaines de ces images auraient été perdues à jamais… Thx Mâa !

Sauf que plus haut je remercie Joël, donc je me demande si je n’ai pas eu droit à deux versions scannées, une meilleure que l’autre, et je ne sais plus laquelle.
Donc merci au deux et voilà c’est réglé…


Bon, y’a du « neuf » : cela faisait un moment que je n’avais pas repris contact avec Philippe Amador (c.f. « Les Aventures de la Terre » pas loin dans tout ce bazar), et à l’occasion d’une petite conversation Telegram (hé oui, c’est top-secret ce qu’on a à se dire), voilà t’y pas qu’il me fait passer ça :

 » ALBAN NE MEURT JAMAIS « 

Alors oui, cela ne peut faire marrer que les personnes concernées , comme tout le reste.
Oui, avec un peu de cynisme on pourrait penser que ces gars sont restés bloqués dans une époque révolue… ça n’est pas mon avis, du tout.

Personnellement j’étais mort de rire.

Donc j’en fais profiter ceux qui y retrouverons des souvenirs inoubliables (sinon ça n’est pas des souvenirs du reste).
Allez, à pluch, et j’espère que vous vous marrerez autant que moi 😉

si vous êtes attentifs, vous reconnaîtrez dans ce sympathique petit groupe de joyeux lurons Philippe AMADOR, l’homme qui m’a donné l’occasion de faire « Les Aventures de la Terre », fabuleux projet présent ici

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